29 août 2008
Bucoliques anonymes (le nucléaire), par Jeoffrey
Bucoliques anonymes (le nucléaire)
Ce fut une journée où le soleil te cracha sa matine dans la poire.
Tu halais paisiblement comme une humeur de soucis depuis la grève,
Tu avais mis le doigt dans une bouse qui sentait ta propre merde :
- Merde ! Je sens la vache !
Ce fut les prés, les pâquerettes et tous les sens des moi de mais.
L'amour venait tout juste de se lover; Alice bulle rose au nez nu.
Phare qui sème, à tous vents, les rayons mortels de sa succulence.
Jeoffrey
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